Nous avançons vers l’hiver et l’exercice intellectuel va prendre le dessus sur l’exercice physique.

Dans ce sens avez-vous regardé la grande librairie ?

Noëlle Chatelet, quelle force de la nature humaine pour avoir pu grâce à sa mère ne pas vivre le deuil que nous tous avons tendances à porter parce que le manque de préparation ne s’est pas réalisé. Et pourtant, perdre ses parents reste dans la logique du temps qui passe. On s’y attend mais on ne sait pas comment faire ?

La dernière leçon, « ma mère m’a aidé à apprivoiser la mort »cela devrait faire partie du bien être après avoir perdu un être cher

« La mort s’apprend comme un ultime acte de vie »

Suite à la dernière leçon, « les consciences ont évoluées, pas la législation »

« L’apprivoisement de la mort, une autre manière de prendre la mort »

Avons-nous tous peur de mal mourir ?

 
Sophie Daull

 
« Camille, mon envolée »

La perte d’un enfant pose des problèmes à ceux qui le vivent ; il faut trouver une force. Ce livre peut nous la donner ou au moins nous faire comprendre qu’il y a des dispositions en nous.

« Connaitre la chorégraphie du deuil, les mouvements pour apprivoiser le deuil »

L’auteure ne cherche pas à être consolée car elle est en apprentissage des pas du deuil »

Il n’existe pas de mot pour celles (les mères) qui perdent un enfant, peut-être « un mort-vivant »

 
Yann Queffelec

 
Comment aimer un père qui ne m’a pas aimé ?

La sagesse de Yann Queffelec et sa grande réflexion dans « l’homme de ma vie » expliquent les choses et donnent des excuses à son père, cela reste très fort mais avec une grande sensibilité qui laisse entrevoir beaucoup d’émotion de la part de l’écrivain.

 
Trois livres pour nous donner de la réflexion sur notre vie, son bien être avec les évènements qui nous entourent obligatoirement, car c’est aussi cela la vie…

Voilà des réflexions suite à la grande librairie du 22 octobre 2015